[Lu dans la presse] Les Halles du Grand Hôtel-Dieu à Lyon : réplique des Halles Paul Bocuse ? (Lyon Capitale)

Comme Lyon Capitale l’annonçait en avril dernier, Les Halles du Grand Hôtel-Dieu, un lieu de dégustation plutôt haut de gamme, vont ouvrir début décembre. Nouveau lieu de lyonnitude ?

 

Pignol le pâtissier, Pozzoli le boulanger, Trolliet, le boucher, Vianey le poissonnier, quatre Meilleurs ouvriers de France (le Saint Graal des métiers de bouche), accompagnés par La Mère Richard la fromagère, Le Théodore le restaurateur, Voisin le chocolatier (à lire dans Lyon Capitale de novembre), Guyot, le caviste et Cerise et Potiron le primeur. Soit une petit bande de neuf artisans qui débarque bientôt au Grand Hôtel-Dieu, l’idée est d’ouvrir pour la Fête des Lumières.

Le lieu s’appellera Les Halles du Grand Hôtel-Dieu, se déploiera sur deux niveaux, soit 1 294 m2 de surface commerciale (663m2 en rez-de-chaussée et 631m2 en entresol), entre la cour Sainte Elisabeth au sud et la cour Saint-Henri au nord. Les Halles du Grand Hôtel-Dieu donneront également sur la façade Soufflot, côté quai Jules Courmont.

L’idée est de faire des halles ouvertes tous les jours avec la possibilité de déguster (120 places assises) à tout moment de la journée. Une réplique miniature des Halles de Lyon-Paul Bocuse en quelque sorte.

Vu le pedigree des gueules et l’investissement initial (2 millions d’euros, sans compter le loyer annuel estimé à 530 000 euros annuels, probablement renégocié), il faut espérer que les prix ne soient pas trop inabordables.

 

Le Grand Hôtel-Dieu, nouveau RDV gastronomique

Le 15 novembre, à deux bouchées de homard, c’est Le Grand Réfectoire qui ouvrira ses portes. « Une cuisine identique au Blue Bay, à Monte-Carlo mais en version bistronomique, c’est-à-dire la gastronomie appliquée au bistrot. » explique à Lyon Capitale le chef consultatnt Marcel Ravin. Le chef étoilé vient « travailler des plats lyonnais avec [sa] sensibilité ». Un de ses plats-signatures monégasques : l’œuf bio au manioc truffé et jus de maracudja (une variété de fruit de la passion). D’origine caribéenne, le chef promet des « associations audacieuses » en revisitant et valorisant le terroir lyonnais. « On ne retrouvera pas forcément la quenelle mais un biscuit de brochet aux écrevisses avec une sauce Nantua à la vanille et une pointe de gingembre ».

 

L’article dans son entier est à retrouver sur le site de Lyon Capitale : Les Halles du Grand Hôtel-Dieu à Lyon : réplique des Halles Paul Bocuse ?

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